Aujourd’hui, je devais faire le facteur ; difficile d’être à la fois à la pince et aux boîtes.
Ce n’est pas du tout le même état intérieur, et je préfère vraiment celui du ramasseur. C’était donc une bonne expérience à faire, entre les deux mon cœur ne balancera plus.
Au retour, je me suis seulement arrêté à l’entrée du Chant des Cailles pour remplacer le sac mis à leur disposition. Il a duré près d’un mois. Ce lieu est décidément inspirant sous tous rapports. Combien je le remercie d’exister.
L’impossible présence. Je suis stressé. Tout le quartier me semble stressé. Moi éponge ou moi qui transfère inutile mon état ? Je veux pourtant peser...
Après une semaine d’une belle intensité, le plaisir d’un dimanche soir tout lent tout doux, avec comme un grand vide, il ne me vient rien à penser, qu’une...
Pas facile toujours de partir sans idée préconçue, il y a parfois comme une envie d’écrire l’histoire avant l’histoire. Et pourtant à chaque instant peut se...
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