Tandis qu’à l’autre bout de la commune un morceau de sucre reçoit une goutte de poésie, les liserons ont été pourchassés comme il se doit au Chant des Cailles.
Et pour éviter de les voir repartir de plus belle ailleurs, disposés dans un sac noir où ils sont venu compléter du tout venant venant de tout.
C’est tout ?
Oui, c’est tout. Ce n’est pas assez ?
Si si.
Il y a des jours comme ça. Submergé par la colère. Contre tout, rien et personne. Et pas moyen d’en sortir. Sauf à nettoyer les rues ? Au bout de dix...
Je ne me souviens plus depuis combien de temps je ne suis plus sorti sans mon pantalon de pluie, attendu qu’un lendemain de veille (rare), les routes étant...
Ôôôôôô le mois de novembre, ses ciels inouïs, ses couleurs magnifiques, ses temps changeants ; vraiment, novembre est le mois que je préfère. Et y...
Les températures vont baisser demain, partons savourer les caresses du soleil. Oh ? Des cartes aux vitres des voitures. Oh ? Il n’y en a plus (sauf...
Je marche sous un beau voile blanc. La température est douce. Je ne pense à rien de spécial. Ou plutôt, je ne pense qu’à une chose : au livre édité par...
Un ramassage sous le cagnard. Heureusement, j’aime la chaleur. Et comme elle invite à plus de lenteur encore, mes pensées vont et viennent en douceur. Un...
Soleil et chaleur ; nettoyage du quartier. Une pensée, une seule :L’artiste dont parle le quatrième de couverture du livre expose au Wiel’s, à Forest. « Jeux...