Je marche sous un beau voile blanc. La température est douce. Je ne pense à rien de spécial. Ou plutôt, je ne pense qu’à une chose : au livre édité par les Marcottes (tellement merci à eux), qui se vend si bien, dont on me parle beaucoup, et si élogieux. J’en suis très heureux.
Il prend peut-être quand même un peu trop de place dans mes pensées qui vont moins libres depuis un mois. Je dois m’en détacher un peu. Comme pour tout le reste, simplement laisser faire.
Entre temps le sac est plein, sans que je sache ce que j’ai ramassé.