Sylvette me signale un territoire quelque peu envahi, ajoutant que la crasse appelle la crasse. J’ai un moment ce soir ; c’est bientôt fait.
La suite, c’est le chant doux d’une fin de mois d’août à nul autre pareil. Je ne pense pas balayeur ce soir, je m’enchante de ce mois qui a décidé de transformer ma vie. Décidément oui, chaque jour peut être la promesse de l’inattendu.
Alors, ce soir, je serais bien en peine de dire ce que j’ai ramassé.
Et le champ dans le soleil couchant