Nouvelle expérimentation de ramassage sous la pluie…
Quelques mètres après mon départ, une plaque de frigolite (pour les « non-belges », voir la rêverie de janvier) explosée. Je ramasse, je ramasse, je ramasse infiniment, mais ces petites billes ne se laissent pas prendre, je suis obligé d’en laisser une partie, et je poursuis ma route un peu triste pour les oiseaux et les poissons, puisque tout ça partira probablement vers l’égout, où, comme on le sait, commence la mer.
Mais allez savoir pourquoi, la pluie ne me laisse jamais triste longtemps. Bientôt je chante à nouveau. Et je chante quoi ? Le chapeau de zozo. Je passe le quart d’heure qui suit à chercher vainement la fin de la chanson. Vous parlez d’une méditation !
D’autant que, je l’avais oublié, une pince humide colle, et que, on nous l’avait pourtant appris, tout corps plongé dans un liquide en ressort plus lourd. Mon bras droit me remercie. Pour éviter que le sac ne se troue, je suis déjà obligé d’arrêter.
La suite au gré de mes envies…