Aujourd’hui, je devais faire le facteur ; difficile d’être à la fois à la pince et aux boîtes.
Ce n’est pas du tout le même état intérieur, et je préfère vraiment celui du ramasseur. C’était donc une bonne expérience à faire, entre les deux mon cœur ne balancera plus.
Au retour, je me suis seulement arrêté à l’entrée du Chant des Cailles pour remplacer le sac mis à leur disposition. Il a duré près d’un mois. Ce lieu est décidément inspirant sous tous rapports. Combien je le remercie d’exister.
« Nous partîmes à six et sans aucun renfort Nous remplîmes dix-neuf sacs jusques-à ras bord » (Variation sur Le Cid de Corneille) Et donc il y avait...
Ce matin d’après neige, les oiseaux racontent leurs histoires d’oiseaux en regardant le monde d’en haut. Quatre sur l’arbre, comme les quatre vieux dans...
Bon ben oui, on croit que, mais en fait non. Donc, à ma surprise générale, je suis malade. Mal partout. J’enfourche mes meilleurs médicaments, vélo, chantier...
Sorti avant le lever du jour (comme c’est le plus court de l’année, ce n’est pas vraiment un exploit). Ce sera mon dernier ramassage en 2023, d’autres...
Ce matin (un peu humide), changement de lieu. Rue Gratès. C’est la rue de la Vénerie. Un quartier où personne ne me connaît. Un quartier où je suis...
J’ai appris hier l’existence des lutins farceurs. C’est rigolo. Et voilà qu’aujourd’hui, je constate que des billets doux ont été placées aux vitres des...
Un jour de flocons, un jour à sploutcher dans la neige. J’ai cinq ans. Je ramasse un vélo. En dessin, mais quand même, ça me fait drôle. Un bracelet d’enfant...