Oh qu’elle était sale, la rue. À ne plus avoir envie de la voir.
Sauf qu’elle est difficile à éviter.
Alors, la nettoyer.
Sous le vent.
La fuite des sacs. Que je rattrape. C’en devient amusant.
Au bout de la rue sale, le sac est plein. Et la rue propre.
Envie d’y passer.
Je me suis rabiboché avec la rue. Oh le beau mot.