Un matin froid de novembre
Après Saint-Amand hier
Emile Verhaeren, Jacques Vilet et l’Escaut
Un grand ciel bleu
La lune descendante au milieu du ciel
Les cœurs sur la porte d’Annick en allée
Yseut que je cherche sans la trouver
Yseut que je vois quand je ne la cherchais plus
Les Dieux de la mer nettoyés
Les Nymphes aussi
Les détritus gelés craquant sous la pince
Deux sacs
Je n’en ai plus
Un matin froid de novembre
Sorti des bras de la sœur de Morphée, d’humeur badine dans le petit matin, mais bientôt tout change ; par le rythme de mes pas, la douceur tendre des pensées...
Chassé de mon lit dès l’aube par les bons anges de ma nuit qui ont clairement l’intention de prendre ma place, attiré par les oiseaux plutôt en mode musique...
J’ouvre ma fenêtre dans le tôt matin, et c’est la symphonie fantastique des oiseaux. Il faut sortir ramasser en écoutant tout ça. J’emporte mes oreilles, et...
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