Mercredi 9 mars, 109e jour.

Mon état d’être humain, par définition lacunaire.

Et, partant, mes incompréhensions.

Pourquoi, malgré le chant joyeux des oiseaux et le ciel bleu, pour une phrase peut-être même pas mal intentionnée, j’ai les nerfs en pelote ?

J’ai beau, ensuite, marcher lentement dans les rues de ma cité à ramasser tout ce qui traine, rien n’y fait, rien ne me calme.

Le retour à vélo un peu plus, quand même.

Et puis, il suffit d’un coup de téléphone pour tout résoudre.

Et puis, surtout, quelques rues sont plus propres qu’avant mon passage.

Il est question de ne pas en faire une affaire personnelle…

Articles similaires

Lundi 26 avril, 36e jour

Lundi 26 avril, 36e jour

Aurore nous a montré le nettoyage des rues en mode samouraï. Ce sera amusant à faire, un jour, à plusieurs. Seul, c’est moins tentant. Mais il y a d’autres...

Vendredi 23 avril, 35e jour

Vendredi 23 avril, 35e jour

J’ai eu beaucoup d’activités depuis le début de la semaine, et même, ô joie, un contrat de travail ; cela ne m’était plus arrivé depuis octobre. J’ai...

dimanche 18 avril, 34e jour

dimanche 18 avril, 34e jour

Il a raison Philippe Delerm (La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules), le dimanche soir, c’est un temps à part, une longue lisière comme il...

Aucun résultat

La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.

S'inscrire en tant qu'Ambassadrice/eur Propreté de Watermael-Boitsfort

Signaler un ou plusieurs dépôts