Vendredi 23 avril, 35e jour

J’ai eu beaucoup d’activités depuis le début de la semaine, et même, ô joie, un contrat de travail ; cela ne m’était plus arrivé depuis octobre. J’ai donc dû délaisser les rues jusqu’à ce matin. Elles ne s’en portent pas plus mal. Je ramasse un carton de « Pur natur », voyage...

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dimanche 18 avril, 34e jour

Il a raison Philippe Delerm (La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules), le dimanche soir, c’est un temps à part, une longue lisière comme il dit, entre la semaine qui s’achève et celle qui s’en vient. J’ai eu envie d’aller nettoyer les rues dans ce temps « entre ». Et...

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Vendredi 16 avril, 33e jour

Avant de partir, j’arrose les semis qui me nourriront cet été, puis je m’en vais dans un nouveau premier matin du monde. Je sais évidemment les erreurs, les tristesses, les horreurs, les drames, les tragédies, les bassesses, mais cette part-là est laissée sur le bord du trottoir, quand le balayeur...

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Mercredi 14 avril, 32e jour

Nous avons changé la phrase panneau poétique cet après-midi : « Sur l’autre rive, un coureur et ses pensées, comment les peindre » (Miriam Van hee). Puis je suis parti marcher dans les rues. Le soir tombait ; juste avant, ce bleu clair du ciel si spécial avant l’entre chien et...

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Lundi 12 avril, 31e jour

Je me suis réveillé avec une autoroute à dix bandes dans la tête, ça pensait dans tous les sens et dans une belle anarchie, il me fallait remettre un peu d’ordre dans ce joyeux mais encombrant jeu de quilles. Et comme, contrairement aux prévisions, il fait très beau, je n’ai aucune raison de...

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Vendredi 9 avril, 30e jour

Milieu d’après-midi. Un peu… Rien… Un peu… Beaucoup… Rien… Un peu… Énormément… nettoyer les rues, ce serait comme effeuiller la marguerite, un peu, beaucoup, tendrement, passionnément, à la folie, pas du tout ? Parce que, oui, il y a des endroits qui sont toujours propres, ou des petits...

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Jeudi 8 avril, 29e jour

Je sais pourquoi et comment je pars, le reste est laissé au hasard. J’attache mon vélo, je déplie mon sac, enfile mes gants, et me voilà parti pour un temps indéterminé dans ces rues que je crois connaître par cœur. Devant le numéro sept de l’avenue des Cailles, je découvre un arbuste dont j’ai...

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